Enquête auprès des PLP : bilan du quinquennat Macron-Blanquer

4 avril 2022

Pour le compte du SNUEP-FSU, Harris interactive a mené une enquête en donnant la parole aux professeur·es de lycée professionnel (PLP) pour qu’ils et elles évaluent le quinquennat Macron-Blanquer sur la voie professionnelle.

Rejet de la transformation de la voie professionnelle (TVP)

Cette enquête révèle que pour 79 % des PLP, la TVP ne permet pas d’atteindre les objectifs de formation. Les PLP rejettent la TVP (71 %) et considèrent que les dispositifs génèrent une perte de sens du métier (66 %). Si à peine la moitié des PLP apprécient la co-intervention, un quart seulement sont satisfait·es du chef-d’œuvre et des familles de métiers.

Cinq années de dégradations

Les PLP sont aussi majoritaires à évaluer très négativement l’évolution de leur métier. Pour une majorité, la possibilité de faire progresser les élèves pour obtenir leur diplôme comme pour leur poursuite d’études s’est dégradée ces cinq dernières années. La moitié des PLP accueillant des apprenti·es dans leurs classes déclarent une dégradation des conditions d’enseignement pour les élèves et une perte de niveau.

Pendant le quinquennat, le ministre Blanquer a aussi agi contre les PLP : trois quarts d’entre eux dénoncent la perte d’heures allouées ainsi que la qualité des programmes et des référentiels, avec pour conséquence d’entraver la réussite des élèves.

Reconnaissance et salaire insuffisants

Un PLP sur dix seulement considère que sa rémunération a augmenté ces cinq dernières années. E. Macron et J-M Blanquer n’ont pas amélioré le pouvoir d’achat des PLP qui, pour trois quarts d’entre eux, ne sont pas satisfaits de leur rémunération. Politique menée, propos et salaires insuffisants ont pour conséquences que 82 % des PLP ne sont pas satisfait·es de la reconnaissance que leur accorde l’Éducation nationale.

Agir avec le SNUEP et la FSU

Cette enquête confirme que le SNUEP et la FSU sont en phase avec les PLP. Des PLP qui, loin d’être corporatistes, sont attaché·es à la réussite et à l’avenir des élèves de la voie professionnelle scolaire publique et laïque.  Nos analyses sont confirmées et nos revendications n’en sont que plus pertinentes.

Lors du prochain quinquennat, le SNUEP-FSU portera avec les PLP un projet ambitieux pour redonner du sens à nos métiers pour faire réussir tou·tes les élèves, par l’amélioration des conditions de travail et une véritable revalorisation de nos salaires.

Cliquer ci-dessous pour en savoir plus :

https://snuep.fr/enquete-plp-bilan-quinquennat-macron-blanquer/actualite/

RENFORCER LA VOIE PROFESSIONNELLE SOUS STATUT SCOLAIRE UNE EXIGENCE SOCIALE

6 avril 2022

Les services publics sont de puissants leviers d’égalité sans lesquels les crises économique, sanitaire, sociale et environnementale auraient été encore plus dévastatrices. Les choix politiques opérés n’ont pourtant eu de cesse de les affaiblir malgré la pandémie et malgré maintenant une situation géopolitique inquiétante qui va impacter durablement l’économie. L’obstination des politiques à refuser d’engager des politiques sociales protectrices et salariales ambitieuses conjuguée à des stratégies de divisions de la population font peser le risque d’une crise politique et démocratique d’ampleur. Il nous appartient de poursuivre les combats contre la loi de transformation de la Fonction publique, les projets de réforme des retraites, celles des services publics hospitalier et d’éducation. À rebours de ces choix dévastateurs, il nous faut porter collectivement un projet pour renforcer notre modèle social, améliorer l’accès aux services publics et obtenir un véritable partage des richesses afin de faire émerger une société juste, égalitaire et démocratique capable de relever les défis de demain.

Le service public d’éducation doit jouer un rôle majeur dans notre projet global. Il est un outil incontournable car, renforcé, il contribue fortement à l’égalité et l’émancipation de la jeunesse ainsi qu’à la cohésion sociale.
Cela suppose de lui dédier des moyens pour revaloriser la formation, les perspectives de carrières et les salaires des personnels qui subissent un déclassement intolérable. Redonner du sens à nos métiers, les rendre attractifs et améliorer les conditions de travail de toutes et tous sont des objectifs qui devraient sous tendre tous les projets politiques au service de l’intérêt général. Cela suppose aussi de concrétiser notre ambition de démocratisation du système scolaire et la voie professionnelle sous statut scolaire doit être renforcée car elle est au coeur d’enjeux socioéconomiques qui dépassent le seul cadre scolaire. La revaloriser est une exigence sociale. C’est pourquoi le SNUEP FSU porte l’urgence de :

Amener la scolarisation obligatoire des jeunes jusqu’à 18 ans et en finir avec l’apprentissage des mineur·es qui sacrifie trop de jeunes victimes de ruptures de contrats. L’apprentissage alimente chaque année les 1,3 millions de « sans solution d’emploi ni de formation » et ne permet pas l’élévation du niveau de qualification. Cette exigence de scolarisation oblige l’Éducation nationale à offrir à tous les élèves sortant de collège une solution dans les trois voies du lycée et met fin aux politiques d’orientation précoce vers le monde du travail.

Améliorer les conditions de travail des personnels par le dédoublement de toutes les classes par le dédoublement de toutes les classes en seconde bac pro. Un recrutement à 24 élèves maximum en bac pro quelle que soit la filière, en seconde bac pro. Un recrutement à 24 élèves maximum en bac pro quelle que soit la filière, 12 en CAP et en SEGPA : 12 en classe et 6 en atelier. Une véritable médecine de travail doit être mise en oeuvre. Les services d’enseignement doivent être réduits à 15 heures par semaines pour permettre les concertations nécessaires pour faire réussir nos élèves. Un renforcement des équipes pluridisciplinaires est incontournable pour permettre aux enseignant·es de se se concentrer sur le coeur de leur métier.

Redonner du temps scolaire aux élèves pour plus et mieux d’école , et contribuer à redonner , et contribuer à redonner du sens au métier pour les professeur·es de lycée professionnel. Les horaires hebdomadaires doivent repasser à 34 h et les heures dédiées aux dispositifs prétendument pédagogiques rendues aux disciplines générales, sportives, artistiques et professionnelles. Les parcours rendues aux disciplines générales, sportives, artistiques et professionnelles. Les parcours scolaires vers le bac pro doivent pouvoir être augmentés à 4 ans par l’instauration d’une formation pallier en CAP dans toutes les filières et la possibilité de parcours CAP en 3 ans pour les plus fragiles.

Refonder les programmes, les référentiels et les certifications des diplômes professionnels. Les lycées professionnels forment à des métiers dont l’utilité sociale a été révélée pendant la pandémie. Les formations doivent être solides et équilibrées : les disciplines doivent être adossées à des horaires hebdomadaires, des programmes ambitieux et les diplômes certifiés par des épreuves ponctuelles terminales. Tous les jeunes de lycée professionnel doivent aussi bénéficier d’un enseignement de philosophie.

Améliorer les conditions de scolarité par une amélioration des lieux d’études : établissement, atelier, internat, complexe sportif…. Par une augmentation des bourses et la mise en paiement d’une gratification financière de 500 euros par mois – ce qui permettrait aux élèves d’éviter d’enchainer les jobs durant leur cursus. Il est indispensable aussi de reconstruire une carte de l’éducation prioritaire et l’éducation prioritaire et d’y intégrer les lycées professionnels.

Diversifier l’offre de formation : Les défis climatiques et économiques sont nombreux. L’Éducation nationale doit proposer une offre de formation professionnelle scolaire à la hauteur en proposant des formations de proximité attractives en prenant en compte la demande sociale et les urgences environnementales. Cette offre doit s’attacher à la mixité filles garçons pour palier la ségrégation professionnelle, source d’inégalité salariale.

Porter ces priorités nécessite des politiques publiques ambitieuses. Les annonces récentes concernant la fin des diplômes professionnels et le possible transfert des lycées professionnels scolaires au ministère du travail sont des projets profondément réactionnaires et dangereux. Ces choix relèvent d’une vision étriquée et utilitariste de la formation des jeunes réduites à l’apprentissage des seuls gestes techniques. Mais au–delà du tournant majeur que ce projet préfigure, il organiserait « le séparatisme » de la jeunesse lycéenne : une partie d’entre elle aurait droit à l’école, l’autre en serait interdite, exclue de l’Éducation nationale. Le SNUEP-FSU, le SNES FSU, le SNEP-FSU et le SUI-FSU combattront ces choix politiques. Avec les personnels et plus largement, ils porteront leur projet ambitieux de démocratisation du système éducatif

Guide FSU : Le guide complet

La loi de transformation de la Fonction publique du 6 août 2019 impacte le quotidien des agent·es de la Fonction publique.

Pour y faire face, la FSU a réalisé ce guide pratique pour dire ce que la loi change et aider les personnels à faire valoir leurs droits.

Nous espérons qu’il vous sera utile.

  • Santé et sécurité
  • Conditions de travail
  • Droit à la carrière
  • Egalité professionnelle
  • Liberté d’expression
  • Contractuel·les
  • Statut
  • Droit à la mobilité

Le ministère annonce le report des résultats du mouvement inter 2022

Ils sont prévus le 9 mars et non plus le 3 mars.

Après le bug informatique au moment du téléchargement de la confirmation de participation à la phase inter du mouvement, le ministère repousse maintenant de presque une semaine la communication des résultats au motif de « contraintes d’organisation ». Les résultats pour l’inter du second degré (mouvement général et mouvement sur postes spécifiques et à profil) sont désormais prévus pour le mercredi 9 mars au lieu du jeudi 3 mars initialement prévu.

Un tel report n’est pas tolérable. Le résultat de l’inter est d’une importance capitale pour les participants : il a des conséquences sur leur vie personnelle et professionnelle à venir. Jamais un tel changement de date n’aurait pu se produire quand des commissions paritaires étaient réunies pour vérifier le projet de mouvement de l’administration et y faire porter les corrections nécessaires. Avec la loi de transformation de la Fonction publique, tout se passe désormais dans une totale opacité et l’administration s’autorise des écarts y compris en terme de calendrier.

Après les résultats, pensez à contacter le SNUEP et à mandater la FSU pour un recours !

Quelle que soit la date de communication des résultats, vous pourrez continuer à faire confiance au SNUEP-FSU pour vous accompagner et vous représenter si vous n’êtes pas satisfait.e de votre résultat. N’hésitez pas à nous contacter, de préférence par mail à capn@snuep.fr : nous pourrons vous conseiller et vous proposer des recours-type. Pensez à mandater la FSU lorsque vous déposerez votre recours !

Agir ensemble pour l’augmentation indispensable et urgente des rémunérations et des pensions.

L’intersyndicale Fonction Publique- CGT, UNSA, FSU, Solidaires, FA-FP,CFE- CGC – a décidé de confirmer ensemble, pour les agents publics des trois versants, l’appel à une journée de grève et de manifestations le 17 mars prochain.

Communiqué intersyndical

Après la grève du 13 janvier : maintenir la pression pour le respect de l’éducation et la reconnaissance des personnels

Communiqué FSU, UNSA-Éducation, SGEN-CFDT, SNALC, SNE

Le jeudi 13 janvier, la mobilisation des personnels à l’appel de toutes les fédérations de l’Éducation a débouché sur une grève inédite par son ampleur. Des personnels de tous les corps de métiers se sont retrouvés dans l’action pour exprimer leur exaspération dans la situation actuelle : gestion
chaotique de la crise sanitaire qui conduit à une désorganisation complète des écoles et établissements scolaires, mépris et manque de considération pour les personnels de la part de Jean-Michel Blanquer.

Celle mobilisation a obligé le gouvernement à réagir rapidement. Dans l’après midi le Premier Ministre a annoncé recevoir en urgence les organisations syndicales. Cette initiative gouvernementale montre aussi la reprise en main du dossier de la crise sanitaire dans l’Éducation par le Premier Ministre. Cette journée d e grève unitaire du 13 janvier aura fait la preuve que la profession rassemblée à l’appel des syndicats et en nombre dans la rue est écoutée et en mesure de peser.

Des annonces ont été faites en matière sanitaire et pédagogique. Nos organisations actent ces propositions mais pointent des insuffisances sur bien d’autres points : surcharge de travail des personnels et reconnaissance financière de celle ci, délais de communication et de mise en œuvre des décisions, examens… Aujourd’hui, il reste beaucoup à faire pour que les annonces se traduisent sur le terrain et encore davantage pour répondre à l’exaspération des personnels qui s’est exprimée dans la rue le 13 janvier.

Les organisations syndicales réaffirment leur volonté de rester mobilisées sous des formes diversifiées pour le respect des mesures annoncées et obtenir des améliorations durables pour le système éducatif et la reconnaissance matérielle et morale des métiers de l’Éducation.

Poursuivons la mobilisation dès la semaine prochaine !

Toutes et tous dans l’action le 20 janvier et préparons une grève massive le 27 janvier.

Communiqué FSU, CGT Educ’Action, FO, Sud Education, FCPE, Voix Lycéenne, MNL, FIDL

Le jeudi 13 janvier a été une journée de grève d’une ampleur exceptionnelle. Les annonces faites par le premier ministre et le ministre de l’Éducation nationale ne sont pas suffisantes.Néanmoins, elles ont montré que la grève des personnels et de l’ensemble des acteurs de la communauté éducative a un impact fort, et que nous pouvons obtenir satisfaction sur nos revendications. 

La situation est intenable dans l’Éducation nationale. Le chaos engendré par la gestion de la crise sanitaire mérite des réponses fortes, au-delà des engagements pris par le Premier ministre et le ministre de l’Éducation nationale. Il faut immédiatement reporter les épreuves de spécialités de mars et les organiser plus tard sur la base des programmes prévus pour des épreuves en mars, annuler les évaluations de mi-CP, créer tous les postes nécessaires pour assurer les remplacements, au-delà du recours aux listes complémentaires dans le premier degré annoncées, et doter les écoles et établissements en matériel de protection en nombre suffisant, bien au-delà des volumes annoncés et y compris pour les élèves. Personnels, élèves et parents ont besoin de stabilité, pour travailler et étudier dans un environnement serein et sécurisé. 

Au-delà, l’école a un besoin urgent d’investissement. Il faut un collectif budgétaire pour permettre des recrutements massifs et réduire les effectifs dans les classes. Il faut augmenter les salaires des personnels, au-delà des annonces du Grenelle de l’Éducation, dans le cadre du dégel du point d’indice et d’augmentations indiciaires. . Il faut répondre aux revendications des AED et AESH, en première ligne face à la crise sanitaire et sa gestion catastrophique.

La colère des personnels, des parents et des lycéen·nes n’est pas retombée ! L’heure est à la poursuite de la mobilisation !

Pour obtenir satisfaction sur les revendications, nos organisations appellent personnels, parents et lycéen·ne·s :

  • à lister les besoins dans les écoles, les établissements et les services et à se réunir pour discuter des suites de la grève du 13 janvier.  
  • à poursuivre et à amplifier les mobilisations engagées et décidées par les personnels dès les prochains jours (par exemple les 18 et 19 janvier),
  • à s’engager dans une nouvelle journée d’action le 20 janvier, y compris par la grève

Cette semaine de mobilisation doit déboucher sur une grève massive le 27 janvier dans le cadre de l’appel interprofessionnel, au côté des salariés du privé et des autres agents du public, confrontés eux aussi aux mesures d’austérité du gouvernement et du patronat.

Salaires : le 27 janvier, l’heure est à la mobilisation de toutes et tous

Communiqué CGT, FO, FSU, Solidaires, Voix lycéenne, FIDL, MNL, UNEF

Personne ne peut ignorer le contexte social et économique, les augmentations des produits de première nécessité, de l’énergie comme de l’alimentation et finalement du coût de la vie pour toutes et tous, jeunes, actifs, demandeurs d’emploi et retraités.
Personne n’ignore que seuls les salaires, les pensions et les aides et allocations continuent de stagner ou même de baisser au regard de l’inflation, de décrocher par rapport aux qualifications dans le privé comme dans le public.
Si, dans de certains secteurs et entreprises des mobilisations et des négociations ont permis d’obtenir des revalorisations de salaires, trop souvent encore les négociations sont au point mort ou les propositions des employeurs loin du compte.
Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL ne peuvent s’en satisfaire et n’entendent pas en rester là !

Sans augmentation du point d’indice et du SMIC il n’y aura aucune avancée pour les salarié.e.s dont les mínima de branches sont actuellement en dessous du salaire de base minimum. Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL contestent dans le même temps que le gouvernement ait maintenu sa réforme de l’assurance chômage qui aura pour conséquence d’enfermer de trop nombreux salariés dans des emplois à faible salaire, à temps
partiel ou en CDD.

Les retraité.e.s très massivement mobilisé.e.s attendent toujours une réponse pour une augmentation immédiate de leur pension, retraite de base et retraite complémentaire, dont la dernière revalorisation a été plafonnée à un niveau très inférieur à l’inflation.

La jeunesse confrontée à une grande précarité de vie et de travail, à la pauvreté accentuée par la crise sanitaire, économique et sociale doit obtenir une réponse à l’encontre des réformes libérales, de l’éducation, de la formation, de l’assurance chômage décidées par le gouvernement.

Les organisations CGT, FO, FSU, Solidaires, Fidl, MNL, Unef et UNL soutiennent les actions et mobilisations organisées dans les jours et semaines qui viennent pour exiger des augmentations de salaires et défendre les emplois et conditions de travail et appellent à une mobilisation interprofessionnelle sur les salaires et l’emploi le jeudi 27 janvier 2022.

Il est urgent et indispensable d’agir toutes et tous ensemble par la grève et les manifestations pour l’augmentation immédiate de tous les salaires du privé comme du public, des allocations pour les jeunes en formation et en recherche d’emploi, ainsi que d’améliorer les pensions des retraité.e.s.

Montreuil, le 17 décembre 2021

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Concours et affectation en stage 2021

Vous trouverez sur cette page les dernières actualités portant sur les concours et l’affectation en stage.

Pour être accompagné par le SNUEP-FSU nous contacter à stagiaires.nantes@snuep.fr en nous précisant nom, prénom, concours obtenu( CAPLP , CPE , interne, externe, ou troisième concours), discipline

A l’annonce du troisième confinement, vous vous demandez quelles conséquences il aura sur les concours ? Rendez-vous sur le site su SNES-FSU national : https://www.snes.edu/carriere/concours-entree/troisieme-confinement-quelles-consequences-pour-les-concours-2021/

La page suivante explique la procédure d’affectation des lauréat-es des concours du CAPLP et CPE 2021, sous réserve de modifications introduites par la publication de la note de service (prévue normalement en avril 2021). https://guyane.snuep.fr/affectation-laureats-de-concours-2021/

Vous trouverez d’ores et déjà sur notre site les listes des supports à mi-temps et à plein temps devant élèves, gelés à ce stade dans l’académie de Nantes, pour accueillir des stagiaires.